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Commentaires

1. Le lundi 28 mai 2007 à 09:48, par benjamin

Oups, André, pas Alain... Veuillez m'excuser...

2. Le lundi 28 mai 2007 à 09:37, par benjamin

Alain, il me semble que les commentaires les plus anciens se retrouvent en bas de page...

3. Le vendredi 25 mai 2007 à 18:15, par Andre

Monsieur Cabe aurait pu commencer ses interventions par la citation de Coluche, nous aurions compris plus rapidement....

4. Le mercredi 23 mai 2007 à 20:53, par Michel CABE

Cher M. CHAPUT,
Il ne faut pas vous contenter de copier-coller "Michel CABÉ" dans GOOGLE, comme vous l'avez fait.
Essayez donc plutôt « Syndicat Garonne Et Salat » ou encore mieux « IDIART faux en écritures publiques »…
Vous finirez bien par trouver...

5. Le mercredi 23 mai 2007 à 16:25, par Michel Chaput

L'internet que vous nous proposez est aussi sourd et aveugle que ce que vous excipez de la citation d'Elie Wiesel.

La paille et la poutre, éternel dilemne...

6. Le mercredi 23 mai 2007 à 15:38, par Michel CABE

J'avais envie de répondre à cet émouvant panégyrique de Michel CHAPUT, alias BPMC, ce simple mot : Amen.

Plus sérieusement, je ferai mienne une nouvelle citation:
"Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle.
Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute : il sait, il pense qu'il sait."
Elie Wiesel

Il existe pourtant bien des moyens de s'informer, INTERNET en est un...

7. Le mercredi 23 mai 2007 à 15:11, par Michel Chaput

Je ne comprends pas la citation de Michel CABE. Toute expérience humaine est intéressante, et notamment, celle de Jean-Louis IDIART, enfant de Mazères sur Salat, d'origine modeste, sensible aux à-coups sociaux de la petite cité industrielle où il vécut, enfant sage sans doute mais aussi curieux du monde, lycéen qui allait les jeudis après-midi écouter des plaidoieries au Tribunal par goût d'ouvrir son horizon et de connaître autre chose que les limites de toute famille et de tout enseignement.

Cela dénote aussi un intérêt pour la vie de la cité, les manifestations de la société, quelles qu'elles soient, un intérêt pour l'individu qui aboutit, après mai 68, au désir d'inscrire dans les faits des revendications, parfois violentes, exprimées par les étudiants et les ouvriers.

Il y a aussi ce plaisir de l'écoute qui m'a été confirmé par d'anciens camarades d'école ou de collège, et les appréciations généreuses sur sa personne que m'en ont fait les mêmes interlocuteurs.

Cela se voit, Jean-Louis IDIART est un homme serein, philosophe, doué d'humour, attentif aux autres, accessible, humain, voire humaniste, toutes qualités indispensables à la compréhension et la représentation de ses concitoyens.

C'est un homme avec lequel on se sent tout de suite en sympathie à qui l'on a spontanément envie de faire confiance.

Ses contemporains, comme ses électeurs, ne s'y trompent pas et je le remercie d'être candidat à cette nouvelle élection législative.

Dans la période troublée que nous allons connaître, face à l'offensive clivante et partisane de la droite, nous aurons bien besoin de l'écoute, de l'expérience et de la juste parole de Jean-Louis IDIART.

8. Le lundi 21 mai 2007 à 18:58, par Michel CABE

"De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent."
Coluche (1944-1986)

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