Notre circonscription peut ainsi contribuer à l’émergence d’un contre-pouvoir absolument nécessaire pour notre République. La France a besoin d’une opposition solide, alors que la droite est tentée par une fuite en avant ultra conservatrice, comme on le voit avec son projet de hausse de la TVA qui frapperait injustement des millions de consommateurs.
Nous souhaitons la victoire de Jean-Louis Idiart car partageant son idéal solidaire et démocratique, nous voulons travailler étroitement ensemble, au service de nos communes. Nos territoires ruraux, en pleine évolution, seraient les premiers visés par une politique d’affaiblissement des services publics. Ils auront bien besoin de sa présence et de son action.
L’élection de Jean-Louis Idiart sera l’occasion d’envoyer à l’Assemblée Nationale une personnalité compétente, qui saura exercer sa vigilance, présenter des propositions nouvelles, faire entendre clairement les idées de progrès.
Pierre Izard (Président du Conseil Général) ; Bertrand Auban (Conseiller Général Canton de Saint-Béat, Président du groupe socialiste au Conseil Général) ; Jean-Pierre Brana (Conseiller Général Canton d’Aspet) ; Henri Denard (Conseiller Général Canton de Bagnère de Luchon) ; Gaston Escude (Conseiller Général de Cazères) ; Francis Laffont (Conseiller Général Canton de Rieumes) ; Joseph Lafuste (Conseiller Général Canton de Saint-Martory) ; Jacques Leclerc (Conseiller Général de Boulogne sur Gesse) ; Jean-Raymond Lepinay (Conseiller Général Canton de Saint-Gaudens) ; Robert Pons (Conseiller Général Canton de Montréjeau) ; Patrice Rival (Conseiller Général Canton de Barbazan) ; Francis Sancerry (Conseiller Général Canton Le Fousseret)
]]>Deux types de confusion participent de cet épisode.
Confusion des genres tout d’abord. L’Elysée n’est pas l’UMP et vice-versa. Le Président de la République n’est pas celui de l’UMP. On se souvient que Nicolas Sarkozy a démissionné de ce poste officiellement le soir de son élection nationale.
C’est donc le signe que le Président persiste à considérer que toutes les fonctions lui appartiennent, qu’elles lui reviennent de droit et qu’il est seul habilité à les exercer. Il sera donc également, selon son bon plaisir, 1er Ministre, Ministre, Secrétaire d’Etat, Préfet, procureur, Instructeur, policier etc…
A tant faire, il pourrait aussi devenir chômeur ou cheminot, vendeuse ou banquier, rien ne lui résiste. Au moins serait-il ainsi renseigné plus utilement de l’état de la France et du moral des Français, par le terrain et pas seulement par ses amis du CAC 40, à l’occasion de croisières inaccessibles au commun des mortels.
Mais la confusion prend une autre dimension lorsqu’elle se double de manoeuvres politiques de plus bas étage.
Il ne suffisait pas que François Bayrou se soit opposé deux ans, fut-ce modérément, à la politique du gouvernement de Villepin. Il ne suffisait pas que l’UMP ait exercé sur sa candidature des pressions à la limite de la menace et de l’insulte pour le réduire au silence. Il ne suffisait pas qu’il ait ridiculisé le dialogue ouvert entre lui et Ségolène Royal entre les deux tours, initiative traitée avec le mépris le plus voyant. Il ne suffisait pas que, comme pour le parti socialiste, il ait tenté, et réussi d’en débaucher le plus grand nombre d’éléments.
Il faut maintenant le réduire à néant.
Ainsi donc, le candidat de l’UMP a été désigné pour retirer volontairement et spontanément sa candidature, et ne laisser au Béarnais que l’amertume d’être élu avec les voix indiscutables (dira la presse) de la Majorité Présidentielle. A moins qu’il ne fasse acte d’héroïsme politique en se retirant à son tour pour n’être pas souillé par la vague bleue. Mais cet héroïsme semble si suicidaire qu’il s’avère quasiment impraticable. François Bayrou devra donc se résigner, quoiqu’il en dise, à être élu par les voix de Sarkozy. En attendant, bon nombre d’électeur de gauche auront été abusé par cette manœuvre. Sic transit gloria mundi…
D’une pierre deux coups, disais-je, car les « méchants » ayant maintenu leur candidat contre Bayrou seront bien sûr les socialistes. Manière pour Sarkozy de faire une politesse au PS en tentant à l’avance de couper les ponts à toute tentative de réflexion commune.
Certains s’en réjouiront ou s’en amuseront. Je considère pour ma part que lorsque les responsables politiques sont mis en situation par le pouvoir de se retirer ou de n’être élus que par leurs adversaires, ou encore de ne plus pouvoir s’exprimer librement d’un parti à l’autre, nous sommes dans une amorce de régime autoritaire qui n’avoue pas son nom.
C’est aussi contre ces pratiques insidieuses et non démocratiques que je voterai Dimanche pour le PS. C’est une question de conscience.
Michel CHAPUT]]>
Le simulacre d’ouverture pratiqué par Nicolas SARKOZY ne changera rien au vu du projet politique qui conduira notre pays vers une ère tacherienne dont les anglais gardent le pire souvenir.
D’où son objectif d’étouffement de l’opposition afin de réduire le débat, pour les cinq années qui viennent, à sa plus simple expression.
C’est au Parlement que se prendront toutes les grandes décisions qui vont concerner nos concitoyens. Chacun comprend que ce débat doit être le plus équilibré possible pour que leurs aspirations soient prises en considération.
Les députés de Gauche seront désormais les seuls à pouvoir l’animer, à pouvoir influencer les décisions, à pouvoir limiter leurs conséquences voire à obtenir le rejet de celles qui seront les plus conflictuelles. contradictoire. Pour cela, ils doivent être les plus nombreux possibles.
J’apporte à Jean Louis IDIART, dont les électrices et les électeurs savent la détermination, la disponibilité, l’engagement, tout mon soutien. Vice Président de la Commission des Finances de l’Assemblée, élu de terrain du Comminges, il est de ceux dont nous avons besoin demain pour que la vie démocratique se poursuive et que notre pays échappe au risque reconnu par toutes et tous, du pouvoir absolu.
Martin MALVY
Ancien Ministre
Président de la Région Midi-Pyrénées
]]>Il faudrait sans doute arrêter de faire dire aux choses ce qu’elles n’expriment pas.
S’il est vrai que le vote de chacun exprime un choix personnel, voire une volonté dans certains cas, l’addition de ces actes individuels ne crée pas une volonté nationale cohérente, réfléchie, calculée. S’il est vrai que le vote de chacun exprime un choix personnel, voire une volonté dans certains cas, l’addition de ces actes individuels ne crée pas une volonté nationale cohérente, réfléchie, calculée.
C’est tout le discours de la droite qui tente de nous abuser en nous laissant à croire que si « tout le monde » pense de la même manière, à savoir adouber Sarkozy, pourquoi résisterions-nous ?!
Il y a pourtant de bonnes raisons, déjà citées, de le faire :
- bouclier fiscal,
- heures supplémentaires illusoires, mal payées, mal réparties et créatrices de chômage,
- contrat de travail unique (vous pouvez passer votre code du travail au broyeur),
- aucune politique de logement social, seulement une défiscalisation des intérêts d’emprunts limitée qui ne permettra pas aux petits salaires devenir propriétaires
- aucune politique de la Santé, cette grande absente du débat, mais des franchises payantes,
- un mensonge éhonté sur la réduction de la Dette Publique
- etc…
Tout cela les Français le savent, mais une fraction d’entre eux s’est résignée, ou ne sait plus quoi penser.
Alors on reste chez soi, inquiet, fataliste ou révolté, sans penser au geste qui sauve.
Et le geste qui sauve, maintenant et plus tard, c’est la bonne réaction que les Français ont eue les 22 avril et 6 mai derniers : VOTER !
Je sais qu’il y a des électeurs traditionnels de la gauche qui se sentent découragés, désemparés, face à l’intoxication médiatique dont nous sommes gavés tous les soirs jusqu’à l’écoeurement.
Je sais qu’il y a des jeunes révoltés qui croyaient à la défaite de Sarkozy…La colère les prend aux tripes. Mais la colère est souvent mauvaise conseillère.
Je sais qu’il y a des personnes âgées, délaissée, en difficulté, chômeurs ou malades, qui ne se sentent plus concernées, ou encore oubliées des préoccupations socialistes. Non, le PS ne les oublie pas !
A tous ces abstentionnistes du sort, abasourdis par la victoire de la droite aux Présidentielles, qui ont été présents les 22 avril et 6 mai, je n’ai qu’une chose à dire : revenez nombreux Dimanche 17 juin 2007 !
VOTEZ !
Michel Chaput]]>
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Véritable fer de lance, ils favorisent la vie en société. Les gens se retrouvent à la fois pour se divertir, faire des efforts et progresser. Il est primordial de préserver et d'accompagner tous ces acteurs du développement sportif et éducatif du Comminges Savès. Dans cet espace ou nature et sport s'harmonisent si bien, l'enrichissement doit être collectif et réciproque. |
Pas de cohésion sociale sans égalité des chances. Pas d'économie performante sans salariés formés. Pas de sécurité professionnelle sans formation tout au long de la vie.
]]>Nous allons ensemble engager une nouvelle étape au service du Pays de Comminges Pyrénées pour construire son avenir loin des polémiques stériles et des coups bas.
Merci pour votre confiance.
Jean-Louis Idiart
Premier tour des législatives 2007 - 8ème circonscription
Inscrits : 82.836 - Votants : 52.824 - Exprimés : 51.499 - Abstention : 36,23%
Jean-Louis Idiart (PS) 20.813 40,41%
Françoise Boulet Ribet (UMP) 14.291 27,75%
Jean-Bernard Castex (MD) 4.422 8,59%
Josette Sarradet (PRG) 2.847 5,53%
Nadine Voloscenko (FN) 1.724 3,35%
Corinne Marquerie (PCF) 1.657 3,22%
Michel Roux (Verts) 1.085 2,11%
Katia Venco (LCR) 950 1,84%
Gérard Valette (CPNT) 935 1,82%
Elsa Depouzier (ALT) 888 1,72%
Michel Lezerac (DIV) 466 0,90%
Chantal Mondain (DVE) 431 0,84%
Martine Guiraud (LO) 321 0,62%
Marc Benoit (MNR) 274 0,53%
Philippe Bonnet (REG) 216 0,42%
David Saforcada (DIV) 179 0,35%
Claude Attard (DIV) 0 0,00%]]>
Vidéo de François Hollande et son analyse de la campagne
Vidéo de Ségolène Royal et son analyse de la campagne
Vidéo de Jean-Marc Ayrault et son analyse de la campagne]]>
Jean ABADIA - Moustajon
Marius BALLARIN - Bourg d'Oueil
Marcel BERGES - Bachas
Jean Louis BROUSSE - l'Isle en Dodon
Pierre CARRAS - Saint Paul d'Oueil
André CASTERAS - Rouède
Georges CHATAIGNER - Saint Loup en Comminges
Sylvain COMET - Antignac
Jean-Paul DARDE - Benque Dessus Dessous
Jean-Paul DENARD - Cazaril Laspenes
Jean DUBUC - Portet d'Aspet
Jean Pierre ESCAIG - Fougaron
Daniel ESCLASSAN - Castelnau Picampeau
Martine FAGE - Sarremezan
Louis FERNANDEZ - Mayregne
Jacques FERRAUT - Latoue
Michel FITTE - Aulon
Daniel GASPIN - Montmaurin
Eloy LOUGE - Balesta
Joseph MONTAUT - Ciadoux
Jean OUSSET - Labroquère
Alain PASSAMENT - Bouzin
Jacques Pavan - Salies du Salat
Léon PEYRE - Portet de Luchon
Alian PUENTE - Salles et Pratviel
Jacques RIVES - Oô
Yvon SAINT MARTIN - Saint Mamet
André SANGAY - Billière
Gérard SAPORTE - Poubeau
René SAVELLI - Auzas
Jacques SOULE - Cathervielle
Stéphane TINE - Jurvielle
Présidents d'intercommunalité
Jean-Claude Arues - SIVOM du canton de Boulogne sur Gesse
Jean-Pierre Brana - CC des trois vallées
Jean Campet - SIVOM de la région de Salies du Salat
Robert Frecilou - SIVOM du canton de L'Isle en Dodon
Jean-Luc Guilhot - CC du canton d'Aurignac
Joseph Lafuste - CC du canton de Saint-Martory
Jean-Claude Madamour - CC du Saint-Gaudinois
Eric Miquel - CC Nébouzan Rvière Verdun
André Pallas - CC du canton de Saint-Béat
André Sangay - SIVOM du canton de Bagnères de Luchon
Délégué de circonscription
DUCASSE Paul
Secrétaires de section
Michèle RODRIGUEZ - Aspet
Paule VILLETTE - Aurignac
Jacques MURILLO - Barbazan
André BAQUIE - Bérat
Jacques LECLERC - Boulogne
Joseph TOFFOLON - Castelnau Picampeau
Marc DUCOS - Cazères
René CERCIAT - Fos
André TANDOU - L'Isle en Dodon
Sébastien DENARD - Luchon
Valery MONTANE - Montclar
Michel CAPOMASI - Montréjeau
Jean-Claude GILIBERT - Rieumes
Marie-Christine LLORENS - Salies du Salat
Roger PENELLA - Saint Béat
Stephan PRECIGOUT - Saint Gaudens
Jean-Luc PICARD - Saint Martory
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Les ressources naturelles - l'eau et la forêt - doivent être protégées et gérées en s'assurant que l'économie montagnarde trouve un juste retour financier de leur utilisation ou de leur prélèvement.
Les équipements et les services à la population doivent tenir compte de la spécificité de la zone de montagne.
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